Les lauréats 2025 Boucher

« Je suis arrivé dans l’univers de la boucherie à la suite d’une journée de découverte des métiers à laquelle j’ai participé avec mes parents. Ce jour-là on a travaillé un demi-cochon et j’ai bien aimé. C’est un métier varié qui offre une multitude de tâches différentes. Le concours MAF m’a permis de prendre confiance en moi, d’apprendre à gérer mon stress et la fatigue. Cela m’a permis de beaucoup évoluer dans ma pratique professionnelle, notamment en ce qui concerne la finition. J’aime toutes les viandes, même si j’ai une préférence pour l’agneau. Dans les années à venir, j’aimerais poursuivre avec un BP et pourquoi pas m’orienter vers une formation de manager d’unité marchande, tout en continuant les concours. »

« Mes deux grands-pères étaient bouchers-charcutiers, donc j’ai entendu parler du métier depuis mon plus jeune âge. C’était presque une évidence pour moi de marcher dans leurs pas. Je prépare actuellement un BP après deux années de CAP. Ce qui me plaît c’est la diversité des choses que l’on peut faire. Chaque jour est différent. J’aime désosser, parer et ficeler mais aussi mettre en rayon car c’est la finalité du travail accompli. C’est un métier qui nécessite d’être organisé, avoir de l’imagination, aimer le contact avec la clientèle et être passionné. Pour le concours MAF, je me suis beaucoup entraîné et j’ai essayé de me surpasser à chaque épreuve. Cela a été une expérience très enrichissante. Plus tard, je me vois bien tenter l’aventure des MOF et ouvrir ma boutique qui sera dynamique et familiale. »

« Je prépare actuellement un BP après un CAP en deux ans dans la même entreprise. J’ai fait plusieurs concours, dont celui de Charolles où j’ai terminé deuxième, et celui de Panazol où j’ai fini premier, avant le MAF où j’ai été lauréat. Je suis issu d’une famille de chasseurs, donc j’ai toujours eu l’habitude de travailler la viande. Après un stage de cinq semaines dans une boucherie, j’ai décidé de me lancer. Ce que je préfère, ce sont les finitions, le ficelage et la découpe. Plus tard ? J’aimerais avoir mon entreprise et élever mes bêtes. A l’âge de 11 ans, j’ai acheté mes deux premières brebis et depuis j’augmente chaque année mon cheptel. »