Les lauréats 2025 Poissonnier

Aliza
FAUQUEMBERGUE
19 ans - Samer (62)
« Rien ne me prédestinait à faire ce métier. Au départ, je voulais être pâtissière, mais après un stage je n’ai pas été emballée. J’ai découvert par hasard la poissonnerie au lycée professionnel où j’étudiais, et ça m’a plu. J’ai passé un Bac pro poissonnier-écailler-traiteur au Touquet et mon patron m’a encouragée à m’inscrire au concours des MAF. J’ai bien fait, puisque j’ai été lauréate ce qui m’a permis de prendre confiance en moi. Ce que je préfère dans le métier, c’est la partie transformation du poisson et le contact avec les clients. Dans les années à venir, j’aimerais participer à d’autres concours, notamment les MOF, et ouvrir ma propre poissonnerie. Transmettre mon savoir-faire aux plus jeunes est aussi quelque chose qui me tient à cœur. »

Enora
FERCOQ
24 ans - Paris 17e (75)
« Quand j’ai découvert l’univers de la poissonnerie, j’étais étudiante en licence de psychologie. Au départ, c’était juste un job que je faisais comme « extra » pendant les fêtes de fin d’année. Et puis, au fil du temps, j’ai fini par tomber amoureuse du travail et de ses multiples facettes. C’est un métier très varié, j’aime cette diversité, à la fois la préparation du poisson, mais aussi la relation client, la gestion des approvisionnements et de la boutique au quotidien. Pour l’instant, je n’ai pas d’idée ou de projet bien défini, j’ai surtout une envie d’apprendre, encore et beaucoup, pour développer mon savoir-faire. Ensuite, on verra où ça me mènera. Je pense que l’horizon s’éclaircira avec le temps et les rencontres que je ferai. »

Romain
LAVANDIER
19 ans - Lorient (56)
« J’ai découvert ce métier un peu par hasard. C’était au moment des fêtes de Noël. Je suis allé aider ma mère qui travaillait dans une poissonnerie et j’ai adoré. Du coup, je me suis dit que c’est le métier que je voulais faire. L’année suivante, j’ai passé un CAP poissonnier-écailler-traiteur, suivi d’un Bac pro. L’an dernier, pour préparer le concours des MAF, que je passais pour la deuxième fois, je me suis beaucoup entraîné et ça a payé. Dans l’avenir, j’aimerais à mon tour pouvoir transmettre mon savoir, continuer à faire des concours, notamment pour devenir MOF, et si tout de passe bien être à la tête de ma propre entreprise. »